Une claque et pas de prison : Amy Winehouse, questionnée par la police pour une accusation d’agression, reste libre. Liberté conditionnelle, of course.
Ouf : bien qu’elle y ait passé une nuit entière, la police n’a pas gardé Amy Winehouse dans ses geôles. L’Anglaise avait été accusée, la semaine dernière, d’agression sur un homme, puis questionnée par la police -elle risquait une lourde peine de prison mais n’a reçu qu’un avertissement et reste en liberté conditionnelle. « Elle a admis l’agression, a déclaré un porte-parole, une claque avec la paume de la main, et a accepté la caution. Amy a totalement coopéré à l’enquête et s’excuse de l’incident. Elle remercie la police pour le caractère professionnel avec lequel elle a traité l’affaire. »
Le porte-parole en question a, surtout, vendu la mèche et fait lever quelques jolis espoirs, en expliquant que Winehouse « avait hâte de se retrouver en studio pour poursuivre le travail sur sa nouvelle musique. » Confirmation, malgré les récentes rumeurs de craquage total et d’arrêt complet, qu’elle est bien au boulot sur un nouvel album.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}