Chaos improvisé sur les cendres du vieux monde.
On imagine une discothèque strictement composée de vinyles adulés, un entassement sauvage d’albums signés Neu!, Seeds, Funkadelic, King Crimson, Spacemen 3, Sun Ra ou Sonic Youth avec lesquels ce trio de Brooklyn ferait à la fois un bûcher du passé et un feu de joie pour l’avenir du rock. Comme chez les Liars, Alien Whale bâtit ainsi un autre rock, un chaos improvisé, sur les décombres et les cendres du vieux monde : c’est terrifiant autant qu’exaltant. Parfait pour un dimanche au coin du feu – de l’enfer.
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