A l’occasion des cinq ans de la mort d’Alain Bashung, l’intégrale des disques du chanteur est à découvrir ici, de son premier album « Roman-Photo » à son dernier « L’Homme à tête de chou », relecture de l’album de Serge Gainsbourg. Un parcours magistral à redécouvrir ici.
L’Homme à tête de chou (2011)
Avec cet album posthume, Alain Bashung reprend l’intégralité de L’Homme à tête de chou, album légendaire du non moins iconique Serge Gainsbourg, et s’approprie totalement le matériau originel.
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Bleu Pétrole (2008)
Avec le splendide Bleu pétrole, Alain Bashung retrouve le chant sur des musiques hantées par le rêve américain et ses grands espaces. “De l’air, de l’air”, dit le crooner.
http://youtu.be/ew1Jo8MNMVs
Les Hauts de Bashung (2002)
Dix ans après sa première intégrale, Alain Bashung se repique au jeu du petit bilan discographique et regroupe les principales balises de ses vingt-cinq dernières années de carrière. Soit seize volumes répartis en dix disques studio, trois albums live, deux recueils de raretés et d’inédits, plus un DVD.
L’imprudence (2002)
Le nouveau Bashung est « dark« . La sentence, sans autre espèce de nuance, paraît scotchée aux lèvres de tous ceux qui ces dernières semaines ont entendu L’Imprudence : sublime, forcément sublime, mais noir de chez noir, sans la moindre lueur d’espoir, tel un monolithe tombal arrosé au bourdon.
Cantique des Cantiques (2002)
Sur le papier, le concept a de quoi faire peur : Alain Bashung et sa nouvelle épouse interprétant dans une église, pour leur mariage, une lecture à deux voix d’un texte biblique, sur un tapis musical gentiment offert par un vieux pote. Sauf que le pote en question s’appelle Rodolphe Burger.
Climax (1999)
Plutôt que de se compiler pépère, Bashung revisite son œuvre par les voix de traverse, en parfaite compagnie.
Fantaisie Militaire (1997)
Fantaisie. Militaire Pochades et rigueur : on parlera une fois encore, chez Bashung, d’oxymore. Occis, mort : Bashung, c’est affaire entendue, a abandonné son corps à la science. Chanteur mort, Bashung pose sur la pochette, noyé dans le cresson ? puis, sur le livret intérieur, squelette dans le marigot.
Confessions Publiques (1994)
Un live où les chansons desserrent leur cravate et prennent des libertés : Bashung n’est pas prêt pour l’Académie.
Chatterton (1993)
Après le rêve américain plutôt roots d’Osez Joséphine, Chatterton marque un retour à des sonorités plus actuelles et variées. Bashung a rassemblé un casting aussi prestigieux qu’éclaté. Une demi-douzaine de guitaristes sont ainsi mis à contribution, dont le légendaire Link Wray et l’avant-gardiste Marc Ribot.
Bashung (1991)
Le succès critique et public d’Osez Joséphine, sorti l’année précédente, n’est pas étranger à la parution de ce cube noir et blanc, orné lui aussi d’une photo de Mondino. Soit neuf disques et deux espaces vides ? pour Joséphine, justement, et son successeur à paraître, Chatterton.
Osez Joséphine (1990)
Aux antipodes de la veine parodique de Passé le Rio Grande, Osez Joséphine aligne une brochette de reprises (Bob Dylan, Buddy Holly, Willie Nelson et Moody Blues) jouées sans accessoires ni clins d’œil, au premier degré.
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