Célébrée pour son premier album Philarmonics en 2010, Agnes Obel revient en septembre avec son successeur : détails.
Pourtant très amoureux de son premier album, son invitation en 2010 puis en 2011 au Festival des Inrocks étant une preuve battante comme un cœur conquis, nous n’aurions sans doute pas parié sur un succès si monumental pour la Danoise Agnes Obel -personne, d’ailleurs, n’aurait sans doute imaginé un tel engouement.
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Paru en 2010, son inaltérable Philarmonics a ainsi atteint le chiffre, faramineux en ces temps de disettes du disque, de plus de 450 000 ventes en Europe, dont 150 000 et quelques cartons en France, chiffre magique du triple disque d’or dans l’Hexagone : de quoi rassurer, légèrement du moins, sur la capacité des peuples à se passionner pour autre chose que la massive soupe habituelle.
La nouvelle d’une suite est donc, logiquement et pour beaucoup, un événement. L’événement adviendra le 30 septembre, date de la parution du successeur de Philarmonics. Nommé Aventine, ce nouvel album ne change pas la formule de départ : comme un nouveau signe d’indépendance incontestable, Obel l’a écrit, composé et produit seule, simplement aidée de la violoniste et violoncelliste Anne Muller et de Mika Posen (Timber Timbre) sur une poignée de morceaux.
Il faudra attendre encore un peu pour en savoir plus sur Aventine, mais un court teaser, visible ci-dessous, nourrira les appétits les plus impatients.
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