Extrait du dernier album du boss du label Tricatel, le tube de “Rêve Capital” se pare d’un clip fendard entièrement dédié à la gloire de sa personne.
À l’aube d’un été 2021 que l’on espérait brûlant, sinon clément, la figure de proue du label Tricatel, Bertrand Burgalat, avait livré le tube solaire et premier single de Rêve Capital, son album paru en juin, L’homme idéal.
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Avec son texte signé de la plume du journaliste et écrivain Laurent Chalumeau et sa production funk immaculée, l’on écrivait dans ses lignes que L’homme idéal situait Bertrand Burgalat à mi-chemin entre Sébastien Tellier et une version classieuse du Philippe Katerine période Magnum.
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L’homme idéal, c’est lui
Désormais accompagné d’un clip réalisé par Célestin Spriet qui assume l’héritage clinquant et kitsch des deux trublions de la pop française, L’homme idéal se livre dans une version on ne peut plus convaincante. Rejouant Narcisse dans la piscine, le port altier en buvant son jus d’orange, derrière son piano ou affublé d’un manteau de fourrure immaculé, Bertrand Burgalat prouve – non sans ironie – qu’il avait tout à fait les épaules pour endosser son rôle de bachelor gendre idéal. Une assertion à vérifier ci-après dans la vidéo du meilleur single de Rêve Capital.
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