En BD, Léonard est un inventeur de génie toqué, un as du détournement loufoque. En musique, Léonard De Léonard fait la même chose : il récupère des bribes d’electro ancienne, de jolis vieux restes de hip-hop, des jouets pop et les entre de force dans sa console de jeu. Tout ceci fait sourire, fait des […]
En BD, Léonard est un inventeur de génie toqué, un as du détournement loufoque. En musique, Léonard De Léonard fait la même chose : il récupère des bribes d’electro ancienne, de jolis vieux restes de hip-hop, des jouets pop et les entre de force dans sa console de jeu. Tout ceci fait sourire, fait des blips, fait danser les pac-men. Chez Léonard De Léonard, la blouse négligée de bricoleur du dimanche nonchalant cache celle d’un laborantin méticuleux et d’une efficacité diabolique.
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Brillamment épaulé d’un ancien Goats (souvenez-vous de cette bombe hip-hop, Typical American), des turbulentes Scream Club ou de la voluptueuse Norazia (entre autres voix autrement plus passionnantes que celles empruntées par Télépopmusik), il rejoint Rubin Steiner dans ce club très privé des électroniciens français capables de faire danser avec du non-sens, de construire des palais avec du sable. De la French touch-à-tout.
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