Livres
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Avec “Cher Connard”, Virginie Despentes signe un roman épistolaire hyper brillant et généreux : un anti “Liaisons dangereuses”, qui rétablit le dialogue et l’amitié dans un monde de crispations. Entretien à suivre dans notre numéro de rentrée littéraire dès le 24 août.
Avec la mort du dessinateur survenue le 11 août, nous avons perdu un artiste dont l’œuvre, du “Petit Nicolas” à ses couvertures pour le “New Yorker,” a été un antidote à la morosité.
Le “Petit Nicolas” a perdu ce jeudi son deuxième père, Jean-Jacques Sempé, après la disparition de René Goscinny en 1977.
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On en rêvait, il l’a fait : le grand Floc’h reprend enfin la série emblématique de la ligne claire. Mais il faudra patienter avant de lire sa version.
Un livre gros comme un Bottin, inépuisable et totalement inattendu. C’est Eric Kroll en photoreporter, évoluant à New York, entre 1971 et 1994, au milieu d’une faune d’artistes déglingué·es et d’anonymes flamboyant·es. Comme tombé·es du ciel.
[Les poches de l’été] Avec “Puissance de la douceur”, la regrettée autrice a redonné ses lettres de noblesse à ce concept dénigré en philosophie.
[Les poches de l’été] À l’occasion du centenaire de la naissance du plus célèbre des écrivains de la Beat Generation, quelques textes inédits, oubliés ou retraduits sortent en poche.
[Les poches de l’été] On se délecte de cette description réjouissante d’affreux·euses mondain·es. Voici “La Comédienne” par un observateur anglais de talent.
[Les poches de l’été] Alors que deux volumes de la correspondance de Kafka paraissent en Pléiade sort aussi “Blumfeld, un célibataire plus très jeune et autres textes”, qui concentre toute la fabrique de Franz Kafka.
[Les poches de l’été] Dans ce recueil de textes accompagnés de photos et de fac-similés des manuscrits, l’on voit apparaître la femme lucide et torturée. À des années lumière des clichés véhiculés sur la star.