Livres
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Du pouvoir des histoires au courage de la vérité, Salman Rushdie a rassemblé vingt années d’articles pour rendre hommage à la littérature et à ceux et celles qui la font.
On peut trouver absurde cette manie très française de multiplier les prix littéraires – chaque café semble avoir son prix littéraire aujourd’hui. Longtemps, je ne l'ai pas comprise, jusqu’au moment où, il y a deux ans, nous avons décidé aux Inrocks de créer notre propre prix.
Le sixième roman d’Hugo Boris commence avec le D-Day, puis nous entraîne dans des décennies plus tard dans la mémoire d’un vétéran. Mélancolique.
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Parmi tous les textes importants du féminisme enfin traduits en France, on peut désormais découvrir Gloria Anzaldúa, qui introduisit le mot “queer” à l’université et écrivit autour du sort des femmes mexicaines.
Brigitte Giraud, Cloé Korman, Giuliano da Empoli et Makenzy Orcel sont les quatre finalistes du prix Goncourt. Qui l’aura ? Réponse le 3 novembre.
Lauréate du prix littéraire Les Inrockuptibles (et du Prix Médicis) l’année dernière, présidente de notre troisième édition cette année, Christine Angot a tenu à tout lire, avec une disponibilité et une générosité prouvant encore sa passion pour la littérature. Nous avons voulu savoir comment, de son côté, elle avait vécu cette nouvelle expérience. Retour avec elle sur toutes les étapes de notre prix à l’occasion de l’annonce de nos lauréat·es.
[MISE A JOUR : La remise du prix ce lundi 7 novembre à la librairie ICI est annulée. ] Roman français, premier roman, roman étranger, essai et bande dessinée… Le prix littéraire Les Inrockuptibles récompense cinq ouvrages dans cinq catégories. Voici les lauréat·es de cette troisième édition parrainée par Christine Angot.
Le nouvel essai d’Eula Biss montre, à la façon des “Choses” de Perec mais aussi de Maggie Nelson, comment nos existences sont façonnées et régies par tout ce que l’on acquiert, ce l’on possède.
Annie Ernaux nous a reçu chez elle, dans sa maison de Cergy, pour s’exprimer sur son prix Nobel de littérature, la responsabilité, la politique et bien sûr l’écriture.
Et si la littérature, en étant le reflet du patriarcat, avait maintenu la moitié de la population mondiale dans une représentation cliché et méprisante ? Avec son essai “Toute une moitié du monde”, Alice Zeniter passe les personnages féminins en littérature au grill féministe. Et c’est passionnant.