Livres
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“La maison est en feu, mais l’étincelle ne date pas d’hier”, juge l’auteure de L’Avancée de la nuit, qui puise dans le Tendre est la nuit de Fitzgerald autant que dans un essai sur la “cheapisation” du monde les bases d’une critique approfondie du capitalisme et de ses mécanismes.
Dans son nouveau livre, “Pour un populisme de gauche”, la philosophe Chantal Mouffe tente d'établir une stratégie politique capable de répondre à des demandes démocratiques trop longtemps prises en charge par les partis populistes de droite.
Hymne à l'autodéfense, à l'affirmation de soi et à l'empathie, la première BD de Claire Duplan donne vie à la super-héroïne qu'on attendait tant contre les "relous" : Camel Joe. Cette "défenseuse de zouz et niqueuse de patriarcat" jongle entre l'indignation, la colère et l'humour pour aider toutes et tous à s'émanciper dans une société post #MeToo. Un ouvrage à mettre entre toutes les mains, préfacé par la grande bédéiste Pénélope Bajieu.
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Un récit biographique mené à la première personne et qui rend hommage à Norman Rockwell.
Les losers du regretté écrivain entretiennent avec les fantômes un dialogue sous haute tension. En résulte un électrisant recueil de nouvelles.
Entre l’Afghanistan et Berlin, la Seconde Guerre mondiale et nos jours, une bande dessinée qui traite des rapports entre Orient et Occident avec simplicité et efficacité.
Dans un troisième roman furieux, Emmanuelle Richard raconte la violence sociale, la haine engagée, et fait de la littérature une arme d’insoumission salvatrice.
Le dramaturge italien traverse l’histoire de l’Amérique par le prisme d’une famille de migrants qui, arrivée aux Etats-Unis en 1844, y fondera sa fameuse banque d’investissement.
Dans son dernier ouvrage, Ta-Nehisi Coates revient sur les enseignements de huit ans de présidence Obama et le rôle fondamental du racisme et du suprémacisme blanc dans la société américaine.
Selon l’auteure de Pas pleurer, “le discours de Daech a désormais pénétré notre imaginaire collectif”, en témoigne encore le récent drame de Trappes. Selon elle, il s’agit désormais pour notre société, plutôt que d’éteindre les radicalités, de les transformer en un puissant désir d’être et de vivre.