Livres
{"type":"Banniere-Haute","device":"desktop"}
[Le monde de demain #3] Tous les jours un entretien pour nous projeter dans le monde que l'on retrouvera au sortir de cette crise sanitaire. L’auteur de L’Aménagement du territoire et du Continent de la douceur raconte sa vision, entre littérature et sociologie, de la situation créée par le Covid-19.
Obligées de cesser leur activité pour cause de pandémie, les libraires craignent qu'Amazon en profite pour rafler le marché. Si Bruno Le Maire envisage une possible réouverture, les professionnel·les évoquent des risques sanitaires.
Au début de la crise du Coronavirus, La Peste d’Albert Camus est devenue une lecture refuge. Mais d’autres romans peuvent aussi nous éclairer dans la période actuelle. Petit tour d’horizon.
Recevoir l’agenda de la semaine
{"type":"Banniere-Basse","device":"desktop"}
[Le journal de confinement de la rédaction] Chaque jour, un journaliste des Inrocks vous raconte sa journée confinée. Aujourd’hui, Nelly Kaprièlian nous raconte le Covid-19 depuis Londres. Mais dans la capitale britannique aucune mesure de confinement n’a encore été prise, et notre journaliste s’enfuit dès qu’elle voit un·e enfant...
Librairies et maisons d’édition fermées, festivals annulés... Toute la chaîne du livre est frappée et ses acteurs - particulièrement les indépendants - sont menacés.
Avec Les Corps abstinents, son premier essai, la romancière Emmanuel Richard donne la parole à ceux qui, comme elle, ne font plus l’amour. Une enquête qui interroge les injonctions sociales et déconstruit les figures imposées du couple et de la sexualité.
Avec La Tempête, conclusion de leur Ligue des gentlemen extraordinaires, Alan Moore et Kevin O’Neill quittent la bande dessinée l’esprit farceur et débridé.
Présentée en deux tomes, une somme passionnante et féministe se penche sur la place des femmes en littérature. Du Moyen Age au XXIe siècle, anatomie d’un très lent passage d’objet à sujet.
Dans un livre intimiste et délicat, Arno Bertina détaille le quotidien de celles qui “font la vie” dans les rues de Pointe-Noire et Brazzaville. Un beau geste d'écriture.
