Livres
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Paru en 1973 et resté inédit en France, ce Dernier Eté en ville de Gianfranco Calligarich est un premier roman mélancolique qui met en scène un antihéros très actuel.
Dans un texte incisif, Barbara Stiegler déconstruit avec brio un “nouveau continent mental” : la Pandémie.
Dans un passionnant entretien au long cours, le philosophe et romancier raconte sa trajectoire particulière, ses affinités artistiques et politiques, et l’engagement d’une génération de révolutionnaires qui a grandi avec la fin des idéologies.
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Dans un essai iconoclaste, Hicham-Stéphane Afeissa ouvre une discussion philosophique stimulante avec les partisans de la cause animale, en plaidant pour une éthique de la différence.
Un premier roman pour la poétesse israélienne, comme une collection de portraits d’hommes calamiteux qu’elle croque avec un humour rageur.
Romancier de l’underground, le gouailleur Johann Zarca se joue des codes de la fiction pour nous précipiter dans l’enfer des soirées hardcore où le sexe se pratique sous drogues de synthèse.
Une série humoristique hilarante, entre Harry Potter et les Monty Python, créée à huit mains par Pascal Jousselin, Nob, Obion et Lewis Trondheim.
Avec Scum. La tragédie Solanas, bio piquante et rêche, Théa Rojzman et le dessinateur Juan Bernardo Muñoz Serrano font revivre Valerie Solanas, figure féministe mésestimée.
Avec “Tomino la maudite“ et “Search and Destroy”, Suehiro Maruo et son disciple assumé Atsushi Kaneko offrent deux mangas intenses, violents et poétiques.
“Les soixante-quinze feuillets”, un roman de Marcel Proust qui annonce “La Recherche”, paraîtra le 18 mars aux éditions Gallimard.