Livres
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Pour évoquer un épisode dramatique de l’histoire canadienne, Elene Usdin fait preuve d’une aisance graphique époustouflante.
Ce surdoué de la littérature du réel retrace le destin brisé de Toumany Coulibaly, sprinter médaillé le jour et cambrioleur la nuit. Une investigation en clair-obscur dans laquelle il interroge les chances que chacun a ou non dans la vie.
À partir d’un étrange album photo chiné aux Puces, l'auteur découvre la vie d’un inconnu. Et rencontre ses propres obsessions. Un des plus beaux textes de la rentrée.
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On l’avait repéré avec “77” il y a deux ans. Son deuxième roman tient ses promesses : fulgurant, nerveux, politique, il met en scène une série de personnages en garde à vue le temps d’une nuit. Rencontre.
La sociologue et romancière publie son premier texte autobiographique. À travers ce récit sur son enfance et ses parents immigrés marocains, elle dit une initiation sur fond d’inégalités.
Le maître américain de l’étrange poursuit sa nouvelle série, entre vie amoureuse et évasion fantasmatique.
Comme chaque année, la rentrée littéraire met l’accent sur les jeunes auteur·rices et les premiers romans. Parmi les 521 romans qui déferlent en librairie dès le 18 août, quel·les seront les primo-romancier·es à découvrir ? Durant une semaine, retrouvez chaque jour la chronique de nos premiers romans favoris. Aujourd’hui : “D’oncle” de Rebecca Gisler (Verdier).
Inspiré de la vie du botaniste Michel Adanson, “La Porte du voyage sans retour” est un livre magnifique sur la passion amoureuse. Comment la quête d’une femme permet à un homme de se révolter contre l’esclavage.
Il·elles sont quatre à émerger avec des livres forts et ultra-contemporains, ou comment la France d'aujourd'hui et de demain s'écrit et s'écrira depuis ses marges.