25 ans d’Inrockuptibles hebdo] Vingt-cing ans de révélations et de consécrations littéraires, d’œuvres foisonnantes, lucides ou révoltées sélectionnée par notre rédaction.
Distinguer la qualité littéraire contre les fausses valeurs, l’innovation contre l’académisme, la subversion contre la tiédeur et les conventions, et faire émerger des voix nouvelles, puissantes : telle a été la mission que nous nous sommes fixée dès les débuts de l’hebdo à la rubrique livres. De la révélation Marie Darrieussecq avec Truismes, en 1996, à la consécration de Michel Houellebecq avec Les Particules élémentaires, d’Emmanuel Carrère avec L’Adversaire à Christine Angot, en passant par la découverte de Laura Kasischke ou Santiago H. Amigorena, et un dialogue constant avec les très grands tel Philip Roth, nous avons adoré accompagner l’une des ères les plus excitantes de l’histoire littéraire.
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Truismes de Marie Darrieussecq (P.O.L, 1996)
>> A lire aussi : Marie Darrieussecq : “Changer l’image que nous nous faisions du futur, voilà l’espoir”
Je sors ce soir de Guillaume Dustan (P.O.L, 1997)
>> A lire aussi : Sur les traces de Guillaume Dustan
Les Particules élémentaires de Michel Houellebecq (Flammarion, 1998)
>> A lire aussi : Notre grande série “Houellebecq et Les Inrocks”
A Suspicious River de Laura Kasischke (Christian Bourgois, 1999)
>> A lire aussi : “Eden Springs”, plongée asphyxiante dans une secte du début du XXe siècle
L’Inceste de Christine Angot (Stock, 1999)
>> A lire aussi : Christine Angot se souvient de la publication de “L’Inceste”
Paradis de Toni Morrison (Christian Bourgois, 1999)
>> A lire aussi : Toni Morrison, une icône de la littérature américaine
L’Adversaire d’Emmanuel Carrère (P.O.L, 2000)
>> A lire aussi : “Le Royaume”, la crise de foi d’Emmanuel Carrère
La Vie sexuelle de Catherine M. de Catherine Millet (Seuil, 2001)
>> A lire aussi : Jean-Pierre Léaud par Catherine Millet
La Maison des feuilles de Mark Z. Danielewski (Denoël, 2002)
La Clôture de Jean Rolin (P.O.L, 2002)
>> A lire aussi : Confiné·es, Léonora Miano, Jean Rolin et Will Self lisent (beaucoup)
La Tache de Philip Roth (Gallimard, 2002)
>> A lire aussi : Comment “La Tache” a fait rentrer Philip Roth au panthéon de la littérature américaine
Retour définitif et durable de l’être aimé d’Olivier Cadiot (P.O.L, 2002)
>> A lire aussi : Le bel artisanat littéraire d’Olivier Cadiot
Faire l’amour de Jean-Philippe Toussaint (Les Editions de Minuit, 2002)
>> A lire aussi : Rencontre avec Jean-Philippe Toussaint
Le Premier Amour de Santiago H. Amigorena (P.O.L, 2004)
>> A lire aussi : Dans “Le Ghetto intérieur”, Amigorena raconte son grand-père au temps de la Shoah
Lunar Park de Bret Easton Ellis (Robert Laffont, 2005)
>> A lire aussi : Bret Easton Ellis en 2010 : “Chacun de mes livres est un exorcisme”
Ravel de Jean Echenoz (Les Editions de Minuit, 2006)
>> A lire aussi : L’envoûtant “Des éclairs” de Jean Echenoz
Dans le café de la jeunesse perdue de Patrick Modiano (Gallimard, 2007)
>> A lire aussi : Modiano en 2014 : “Le Nobel m’a fait l’effet d’être quelqu’un d’autre”
Cendrillon d’Eric Reinhardt (Stock, 2007)
>> A lire aussi : Eric Reinhardt : “L’idéalisme fait partie de moi”
Trois Femmes puissantes de Marie NDiaye (Gallimard, 2009)
En finir avec Eddy Bellegueule d’Edouard Louis (Seuil, 2014)
>> A lire aussi : Edouard Louis : “Comment faire une littérature qui remet vraiment en cause l’ordre social ?”
Parapluie de Will Self (Editions de l’Olivier, 2015)
>> A lire aussi : Will Self : “La notion de pathétique me semble toujours planer autour de la classe politique britannique”
Vernon Subutex 1 de Virginie Despentes (Grasset, 2015)
>> A lire aussi : Virginie Despentes : “Ma colère est une colère de vaincue”
Eva de Simon Liberati (Stock, 2015)
>> A lire aussi : Simon Liberati : “Je suis meilleur prophète en ce qui concerne le passé”
Forêt obscure de Nicole Krauss (Editions de l’Olivier, 2018)
>> A lire aussi : Nicole Krauss : “Le seul lieu auquel j’appartiens, c’est l’espace du livre que j’écris”
Love Me Tender de Constance Debré (Flammarion, 2020)
>> A lire aussi : Constance Debré : “Notre réalité ressemble de plus en plus à la science-fiction de K. Dick”
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