Les bande-annonces des films du prodige québécois génèrent presque autant d’excitation que les longs métrages qu’elles annoncent. Des corps érotisés et magnifiés sur fond de Fugue de Bach de celle des Amours imaginaires au patchwork émotionnel façon clip de celle de Mommy, en passant par le monologue intérieur haletant et tragique de Gaspard Ulliel dans celle […]
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Les bande-annonces des films du prodige québécois génèrent presque autant d’excitation que les longs métrages qu’elles annoncent. Des corps érotisés et magnifiés sur fond de Fugue de Bach de celle des Amours imaginaires au patchwork émotionnel façon clip de celle de Mommy, en passant par le monologue intérieur haletant et tragique de Gaspard Ulliel dans celle de Juste la fin du monde, Xavier Dolan a monté lui-même toutes ses bandes-annonces depuis J’ai tué ma mère, son premier long métrage.
Interrogé pour l’émission 28 minutes sur Arte, il revendique une approche « traditionaliste » de la promotion visuelle des films ayant pour but de vendre au public une histoire et des personnages, et se confie sur la difficulté de trouver le bon équilibre entre ce qu’on expose et ce qu’on garde secret. Concernant la bande-annonce extrêmement efficace de son nouveau film Juste la fin du monde, sorti en salles mercredi, il explique notamment son choix d’accompagner les images par une voix off écrite spécialement pour l’occasion.
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