X-Men : Apocalypse de Brian Singer fait figure de petit dernier mal aimé de la franchise, s’inscrivant à l’image du désastreux L’Affrontement final de sous le joug d’une étrange malédiction des troisièmes volets. Hormis un prologue certes kitsch mais véritablement inventif et spectaculaire qui nous transportait dans une Egypte antique fantasmée, le blockbuster super-héroïque peinait […]
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X-Men : Apocalypse de Brian Singer fait figure de petit dernier mal aimé de la franchise, s’inscrivant à l’image du désastreux L’Affrontement final de sous le joug d’une étrange malédiction des troisièmes volets. Hormis un prologue certes kitsch mais véritablement inventif et spectaculaire qui nous transportait dans une Egypte antique fantasmée, le blockbuster super-héroïque peinait à définir ses enjeux, cristallisés autour de la figure d’un grand méchant sous-exploité.
Rejouant des cartes mille fois dévoilées (la jeune mutante qui découvre l’étendue de ses pouvoirs à la fin du film, une attaque de l’école du professeur Xavier, une scène en slow motion featuring Quicksilver ou un Magnéto plus girouette entre le bien et le mal que jamais), le long métrage n’avait pas laissé un souvenir impérissable dans l’esprit des fans.
La bande de Screen Junkies s’attaque à celle des mutants version 80’s dans leur nouvel Honest Trailer avec une méchanceté jubilatoire. Pointant du doigt la structure temporelle de plus en plus confuse de la saga, ils dénoncent la facilité avec laquelle ses gimmicks élémentaires sont recyclés sans vergogne (coucou le caméo incontournable de Wolverine).
Outre les moqueries sur l’absence de vieillissement des personnages en vingt ans, ou la confusion sur le camp choisi par certains mutants d’un film à l’autre, c’est surtout la structure extrêmement basique du film (les mutants s’allient pour empêcher un grand méchant de détruire le monde) qui est critiquée.
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