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Si les films et plus largement le cinéma sont quelque part un peu nos jouets quotidiens – cette envie de jouer avec les images, de fétichiser chaque scène, de les graver dans notre mémoire -, ils ont aussi entretenu une imagerie assez large et variée des jouets. Qu’il soient des instruments types du cinéma d’horreur (Annabelle, Chucky) ou du drame à venir (M le Maudit, L’Empire du soleil), ils constituent aussi une forme d’innocence pour les enfants (Rencontre du troisième type, Mary Poppins), et même pour les adultes (40 ans toujours puceau, Le Complexe du castor), et même pour les enfants-adultes (Ted, La Course aux jouets).
Et puis il y a le cinéma d’animation, incarnée par sa figure tutélaire Toy Story qui, au cours de ces trois (et bientôt quatre) épisodes, n’a cessé d’humaniser ces jouets qui eux-même entretiennent un lien particulier avec Andy, leur « joueur » (cette ultime scène sublime et bouleversante du troisième volet). Des jouets animés dans Small Soldier’s de Joe Dante, dans la saga récente Lego et même dans l’excellente série Panique au village. Bref, de quoi redescendre en enfance à l’heure des fêtes, et de se souvenir de ces cadeaux d’autrefois, et de maintenant. « Je suis ton ami« , qu’il disait.
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