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Récompensé par le prix de la réalisation au dernier festival de Sundance, The Last Black Man in San Francisco est le premier long-métrage de Joe Talbot. Grâce aux réactions dithyrambiques dont a bénéficié le film outre-Atlantique, son jeune cinéaste est d’ores et déjà attendu au tournant. Librement inspiré par l’histoire de son ami (et acteur principal) Jimmie Fails, il raconte le retour à San Francisco d’un homme désireux de racheter la maison construite par son grand-père.
Distribué par A24, The Last Black Man in San Francisco semble parfaitement entrer dans leur ligne éditoriale, à la recherche des nouveaux noms du cinéma indépendant américain. Par la douceur de sa photographie et ses thématiques sur l’héritage des Afro-américains, difficile de ne pas voir l’influence de Barry Jenkins, dont le premier film, Moonlight, avait aussi été pris sous l’aile de A24. Prévu pour le 14 juin aux États-Unis, le long-métrage n’a pour l’instant pas de sortie planifiée en France.
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