Pour son émission de rentrée, Blow up, le magazine d’Arte consacré au cinéma, nous proposait un curieux voyage à travers les films de toutes époques et de tous genres, les pieds en l’air et la tête en bas. Explorant les différents usages des images renversées, des mondes à l’envers et des personnages suspendus, ce montage nous […]
Pour son émission de rentrée, Blow up, le magazine d’Arte consacré au cinéma, nous proposait un curieux voyage à travers les films de toutes époques et de tous genres, les pieds en l’air et la tête en bas. Explorant les différents usages des images renversées, des mondes à l’envers et des personnages suspendus, ce montage nous permet d’appréhender la diversité extrêmement jouissive et ludique des usages de cette prise de liberté avec les lois physiques.
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Du baiser renversé sous la pluie entre Spider-man / Peter Parker et Mary Jane dans le premier opus de la trilogie de Sam Raimi en 2002 au pauvre Luke Skywalker en bien mauvaise posture dans la caverne du wampa dans L’Empire contre-attaque (1980) ; des délires gravitationnels d’Inception (Christopher Nolan, 2010) à base de villes retournées aux célèbres et virtuoses plans circulaires de Brian De Palma, le monde renversé façon upside down fait figure de dimension à part entière du cinéma et de ses rêveries tant narratives qu’esthétiques.
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