A l’occasion de la sortie des Fantômes d’Ismaël d’Arnaud Desplechin et de sa projection cannoise (en hors-compète), Thierry Jousse revient pour Blow Up sur sa passion pour Desplechin, tant cinéphile que musicale. Car la musique est omniprésente chez le cinéaste qui s’est souvent entouré de compositeurs fidèles pour ses films (Grégoire Hetzel par exemple depuis Rois et Reine […]
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A l’occasion de la sortie des Fantômes d’Ismaël d’Arnaud Desplechin et de sa projection cannoise (en hors-compète), Thierry Jousse revient pour Blow Up sur sa passion pour Desplechin, tant cinéphile que musicale. Car la musique est omniprésente chez le cinéaste qui s’est souvent entouré de compositeurs fidèles pour ses films (Grégoire Hetzel par exemple depuis Rois et Reine jusqu’à Trois souvenirs de ma jeunesse). Mais la musique chez Desplechin n’est pas seulement off, elle s’écoute aussi (beaucoup de rap) dans les grands appartements parisiens de Comment je me suis disputé… ou elle se danse comme Mathieu Amalric improvisant une choré habitée dans Rois et Reine. Enfin Jousse n’oublie évidemment pas de citer peut être l’une des plus belles séquences musicales de l’oeuvre de Desplechin dans Comment je me suis disputé… : Emmanuelle Devos (Esther) dans son petit appartement et le Daphnis et Chloé de Ravel. Sublime.
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