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Après son surprenant Hérédité (2018), Ari Aster continue sur sa lancée autour d’une horreur mystique, faisant appel à une esthétique occulte tétanisante. Avec Midsommar, il suit un couple venant rendre visite à des amis en Suède à l’occasion d’un festival se transformant bien vite en culte païen.
La douceur de la palette de couleurs, que l’on jurerait sortie d’une toile impressionniste, laisse entrevoir une bizarrerie qui gangrène petit à petit les images. On espère le résultat aussi perturbant et étrange que le précédent long métrage du réalisateur, qui pourrait se confirmer, aux côtés de Robert Eggers, comme l’un des nouveaux grands noms du cinéma d’horreur.
Midsommar n’a pas encore de date de sortie française. Il sera distribué aux Etats-Unis par la société américaine A24 à partir du 3 juillet.
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