Avec Une femme est une femme, JLG s’aventure à nouveau sur un terrain qu’il affectionne : les femmes.
« Angela veut un enfant illico. Comme pas mal de femmes, elle aurait pu vouloir aller à Marseille, tout à coup, ou vouloir une robe de 100 000 f, ou un éclair au chocolat, que sais-je… Une brusque envie pour laquelle elle aimerait mieux mourir plutôt que de ne pas la satisfaire. (…) Or, puisque, disait Bazin, le cinéma se substitue à notre regard pour offrir un monde qui s’accorde à nos désirs, il était extraordinairement tentant de substituer au regard de cette jeune Parisienne celui d’une Mitchell 300, et en prouvant qu’une femme reste une femme, de prouver que le cinéma reste du cinéma. » Jean-Luc Godard
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