Une Auberge à TokyoUn chômeur seul avec deux enfants rencontre une femme dans la même situation. Ils unissent leurs destinées, pour le meilleur et surtout pour le pire. Une superbe tragédie où le grand cinéaste de la famille japonaise, qu’on taxa de minimaliste zen en découvrant ses derniers films, démontre qu’il n’avait rien à envier […]
Une Auberge à Tokyo
Un chômeur seul avec deux enfants rencontre une femme dans la même situation. Ils unissent leurs destinées, pour le meilleur et surtout pour le pire. Une superbe tragédie où le grand cinéaste de la famille japonaise, qu’on taxa de minimaliste zen en découvrant ses derniers films, démontre qu’il n’avait rien à envier à Mizoguchi sur le plan dramaturgique. On note que le film, partiellement sonorisé, appartient encore largement au cinéma muet, bien que datant de 1935 Ozu s’étant refusé au parlant jusqu’en 36.
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