L’Exorciste, mais avec un rabbin : très maladroit.
Pour dépasser l’effet de déjà-vu, Unborn va chercher très loin. A savoir dans les camps de la mort, les maisons de retraite et la Kabbale. L’héroïne doit même se faire exorciser par un rabbin. Qui, pour plus de sécurité œcuménique et pour qu’Eric Zemmour ne traite pas Unborn de film communautariste, demande l’assistance d’un prêtre – mais pas d’un imam, curieux. Si les effets spéciaux sont plutôt réussis, Unborn est quand même un peu gênant : une réplique, “tu dois finir ce qui a été commencé à Auschwitz”, est par exemple et au minimum très maladroite.
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