La réalisatrice de “Jeune Femme” revient avec un second film, une histoire de famille entre une mère et ses deux fils qui s’étend sur plus de 30 ans.
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Après une caméra d’or à Cannes en 2017 pour Jeune Femme avec Lætitia Dosch dans le rôle titre, Léonor Serraille revient avec un second long-métrage, la chronique d’une famille ivoirienne des années 1980 à nos jours. On suit le destin de Rose (Annabelle Lengronne) qui en 1989, emménage en banlieue parisienne avec ses deux fils, Jean et Ernest. “Ils sont nés ailleurs, et arrivent en France, bien sûr, cela les constitue. Mais la société, les médias, et ces derniers mois plus particulièrement les politiques se chargent bien assez de poser des étiquettes, des mots, des définitions sur les gens”, explique la réalisatrice.
Au casting, on retrouve autour d’Annabelle Lengronne (Filles de joie), Stéphane Bak (Tokyo Shaking) et Kenzo Sambin dans le rôle des deux frères adolescents. Mais aussi Ahmed Sylla (L’Ascension, Jumeaux mais pas trop), que l’on découvre dans un nouveau registre, Jean-Christophe Folly (L’Angle Mort) et Lætitia Dosch.
Un Petit frère sortira le 1er février au cinéma.
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