Avec son dernier film récompensé à Cannes, Kore-eda scrute de nouveau le pays de l’enfance.
Après une excursion en France avec La Vérité, puis en Corée du Sud pour réaliser une fois de plus un film sur une famille recomposée (Les Bonnes étoiles), Hirokazu Kore-eda est de retour au Japon avec L’Innocence. Présenté au dernier festival de Cannes où il a reçu une Queer Palm et le Prix du scénario , le long métrage a été décrit par notre critique Jean-Baptiste Morain comme “un récit sophistiqué et brillant, au service d’un film plein de bonnes intentions”.
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L’Innocent aborde les déflagrations du harcèlement scolaire à travers l’histoire de Minato, que sa mère élève seule depuis la mort du père. À l’école, l’enfant est confronté aux brimades de ses camarades. Devant le comportement de plus en plus préoccupant de Minato, sa mère décide de confronter l’équipe éducative de l’école de son fils qu’elle juge trop laxiste. Mais à mesure que la narration se déroule à travers les yeux de la mère, du professeur et de l’enfant, la vérité se révèle bien plus complexe.
L’Innocence sortira en salle le 27 décembre
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