Tourné en partie pendant la pandémie, “Nightmare Alley” met également en scène Rooney Mara, Toni Collette, Willem Dafoe et Richard Jenkins.
Auréolé en 2018 de l’Oscar du meilleur réalisateur pour La Forme de l’eau, Guillermo del Toro revient cette année avec deux films très attendus : Pinocchio, pour Netflix, qui devrai sortir à la fin de l’année selon Collider, et Nightmare Alley, dont la bande-annonce vient de sortir ce vendredi 17 septembre.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
Si l’on connaît son attrait pour l’univers fantastique, la rencontre entre le monde réel et le surnaturel, le cinéaste du Labyrinthe de Pan a pourtant prévenu les spectateurs auprès de Vanity Fair : “[Le film] ne comprend aucun élément surnaturel. Il est complètement basé sur le monde réel. Il n’y a rien de fantastique.” Cela étant dit, la bande-annonce diffusée cette nuit par Searchlight Pictures promet du suspense et de la magie.
>> À lire aussi : Christopher Nolan dicte sa loi chez Universal
Mis en musique par Alexandre Desplat
Stanton Carlisle (Bradley Cooper), forain reconverti en mentaliste pour millionnaires dans un grand cabaret, attire l’attention d’une psychiatre (Cate Blanchett) qui, après s’être montrée méfiante des agissements du charlatan, devient de plus en plus impliquée dans ses combines. Ce trailer nous transporte donc dans l’univers spectaculaire et inquiétant du cabaret, des chapiteaux et de la fête foraine : on y voit la vedette de A Star is Born en complet-cravate séduire Rooney Mara et Cate Blanchett (déjà réunies dans Carol) sous le regard intrigué de Toni Collette (Hérédité) en Madame Irma. Willem Dafoe et Richard Jenkins complètent également ce casting, qui promet un bel hommage au film noir. Adapté du roman Le Charlatan de William Lindsay Graham, le long-métrage est mis en musique par Alexandre Desplat et éclairé par Dan Laustsen, habitué du cinéma de del Toro.
“Est-il un homme ou une bête ?”, peut-on entendre dans cette bande-annonce. À vous de trancher, à partir du 19 janvier 2022.
>> À lire aussi : Box-office France : “Dune” démarre très fort mais les productions françaises tiennent tête
{"type":"Banniere-Basse"}