Un radio-astronome est écarté de ses fonctions le jour où il croit déceler des traces de vie dans l’espace. Il décide néanmoins de poursuivre son enquête… Remercions le triomphe d’un mauvais film d’avoir remis au goût du jour les extraterrestres à Hollywood et de nous permettre ainsi d’apprécier The Arrival. Une oeuvre dont les qualités […]
Un radio-astronome est écarté de ses fonctions le jour où il croit déceler des traces de vie dans l’espace. Il décide néanmoins de poursuivre son enquête… Remercions le triomphe d’un mauvais film d’avoir remis au goût du jour les extraterrestres à Hollywood et de nous permettre ainsi d’apprécier The Arrival. Une oeuvre dont les qualités résident, comme dans les classiques SF des années 50, dans le traitement presque documentaire d’un postulat fantastique, qui débouche sur un climat de paranoïa proche des Envahisseurs. The Arrival renoue avec une approche inquiète de la science-fiction, comme si Spielberg, Lucas et leurs mièvreries n’avaient jamais existé, et la modestie de sa forme renforce la crédibilité des péripéties du scénario. Anachronique et attachant, The Arrival parvient, sans la moindre roublardise, à réconcilier les cinéphiles amateurs de série B et les spectateurs du samedi soir. Suffisamment rare pour être salué. Et savouré.
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