Centenaire (de la naissance) de René Clair oblige, on rediffuse un de ses premiers films qui, à l’inverse de son film nostalgique de 1947, Le Silence est d’or, célèbre l’avènement du parlant ou plutôt du chantant, le film étant émaillé de toutes sortes de goualantes grâce auxquelles le Paris populaire de l’époque prend vie, avec ses belles plantes des faubourgs et ses marlous. Charming.
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