Ce dimanche soir, en seconde partie de soirée, après les pérégrinations amoureuses de la mélancolique Katharine Hepburn dans Les Vacances à Venise de David Lean, la chaîne Arte diffusait le documentaire de Pierre-Henry Salfati consacré à l’envoûtante Lauren Bacall. Riche d’images d’archives (notamment d’entretiens télévisés de la comédienne se livrant sur sa jeune carrière) et d’extraits de […]
Ce dimanche soir, en seconde partie de soirée, après les pérégrinations amoureuses de la mélancolique Katharine Hepburn dans Les Vacances à Venise de David Lean, la chaîne Arte diffusait le documentaire de Pierre-Henry Salfati consacré à l’envoûtante Lauren Bacall. Riche d’images d’archives (notamment d’entretiens télévisés de la comédienne se livrant sur sa jeune carrière) et d’extraits de films – ceux évidemment d’Howard Hawks qui ont fait d’elle « La Lauren Bacall », née Betty Joan Perske, mais également « la femme de Bogie », alias Humphrey Bogart – le documentaire brosse le portrait intime de l’actrice et de son ascension foudroyante à l’âge de 19 ans. Un parcours aussi fulgurant pour la jeune fille du Bronx élevée par une mère juive immigrée d’Europe de l’Est, que fugitif. A ce sujet, la comédienne, dont la carrière connaitra un second souffle au théâtre, déclarera notamment dans une archive : « J’ai vécu ma vie à l’envers en étant star à 19 ans et oubliée à partir de 30 ans« . Lauren Bacall, ombre et lumière est à (re)voir sur Arte + 7.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}