Nous ne fêtons pas seulement les trente ans de La folle journée de Ferris Bueller, mais également ceux d’un autre classique du cinéma pop des années 80 : Highlander. Celui-ci bénéfice pour son anniversaire d’une superbe restauration 4K. De quoi redonner toute sa brillance à l’écrin de ce film historico-romantique réalisé par Russel Mulcahy, l’un des plus fameux clippeurs […]
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Nous ne fêtons pas seulement les trente ans de La folle journée de Ferris Bueller, mais également ceux d’un autre classique du cinéma pop des années 80 : Highlander. Celui-ci bénéfice pour son anniversaire d’une superbe restauration 4K. De quoi redonner toute sa brillance à l’écrin de ce film historico-romantique réalisé par Russel Mulcahy, l’un des plus fameux clippeurs de la décennie, créateur d’emblématiques images, lumineuses et cryptiques, pour des artistes aussi variés que Duran Duran, The Buggles, Kim Carnes, Elton John, Bonnie Tyler.
C’est donc le formalisme ultradynamique du film (la modernité clip), contrastant avec la beauté des paysages archaïques de l’Ecosse (et son icône culturelle absolue, Sean Connery), qui attribue toute sa cohérence à des personnages naviguant, en une même gestuelle, d’une époque à l’autre, d’une culture à l’autre, d’un film à l’autre en quelque sorte. De même, au lyrisme d’opéra classique de Freddie Mercury s’ajuste les riffs d’un rock foudroyant. En sa grandiloquence, Highlander semblait étirer, en une saga vrillant de l’épique à l’esbroufe, la fameuse citation de A bout de souffle : « Devenir immortel…et puis mourir« .
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