Cinéma
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Méditation sur la dialectique du maître et de l'esclave. Un premier long métrage troublant et bellement filmé.
À la croisée du documentaire et du cinéma expérimental, ce premier long métrage hypnotique d’Ana Vaz plonge la capitale brésilienne dans une pénombre artificielle pour observer les vies sauvages qui la peuplent.
En moins d’une semaine, le biopic dédié au plus grand chanteur de reggae de tous les temps a largement dépassé le demi-million d’entrées.
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À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la longue errance sur le fil de la folie d'un peloton de la Légion étrangère. Pas mal.
Un beau film, sensible et délicat, avec Émilie Dequenne et Max Boublil en parents préférant vivre séparé·es mais obligé·es d'habiter ensemble.
Autrice de plusieurs courts et d’un premier long (“Crache cœur” en 2015), Julia Kowalski nous revient avec un moyen métrage qui, depuis sa présentation à la Quinzaine des cinéastes en mai dernier, a reçu une pluie de distinctions, dont le prix Jean Vigo et tout récemment le Grand Prix du Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand.
Pour son deuxième long métrage, le Chinois Tian Xiaopeng livre une grande épopée psyché, aussi chaotique que fascinante.
En mettant à nouveau en scène un double fictionnel, le Coréen signe une œuvre habitée, dans tous les sens du terme.
Jason Yu, ancien assistant-réalisateur de Bong Joon-ho, signe une comédie d’horreur grinçante autour de l’arrivée d’un enfant.
Trois films français en compétition à Berlin ce week-end dernier signés Olivier Assayas, Bruno Dumont et Mati Diop, avec le superbe Dahomey. Et aussi deux acteur·ices d'exception Kristen Stewart et Lars Eidinger.