Cinéma

Une fable écologique originale, par l'auteur de “Ma vie de courgette”.

Avec ce récit en trois parties distinctes sur l’impossibilité de la liberté, Yórgos Lánthimos offre un successeur un peu sec à “Pauvres Créatures”, mais un vrai terrain de jeu pour ses acteur·rices.

With this three-part tale on the impossibility of being truly free, Yórgos Lánthimos proposes a slightly blunt successor to “Poor Things”,  but an actual new playground for his actors and actresses. 

A guest unveils themselves by answering our nosy questions. Today, Augustin Trapenard, the face of French cultural journalism and the daily host for the media Brut during the festival. 

Truffaut par Truffaut, le bouleversant portrait d'un grand cinéaste disparu trop jeune

Depicting Truffaut through Truffaut’s own material - a combination of archive footage, letters, and an autobiographical account by the filmmaker himself - the film is the deeply moving portrait of a genius filmmaker who died much before his time

On parlait d’hier de l’usage des jeux vidéo par le cinéma. Parfois leur protocole organise la dramaturgie et la scénographie d’un film – "Furiosa". Parfois leur matière prend le relais de l’image cinématographique le temps de quelques séquences (dans "Les Fantômes" en début de festival, dans "Eat the Night" de Caroline Poggi et Jonathan Vinel – présenté la semaine prochaine à la Quinzaine des cinéastes et dans lequel un jeu vidéo ouvre sur un monde où s’exaucent utopies et désirs).

A depiction of how first-time feature filmmaker Alexis Langlois manages to perform an embalming, through a combination of baroque distortions and crazed deference centered around the YouTube pop-culture of the 2000s, which in its process, comes quite close to De Palma's own intent when it came to Hitchcock's filmmaking - in short, how mannerisms can take hold of post-cinema.

Loin d'être acquise, la parité femmes-hommes dans le cinéma avance à très petit pas, comme le démontre le second bilan du collectif 50/50.

“Les Reines du drame”, le premier long métrage d’Alexis Langlois présenté en Semaine de la critique, est un opéra sur les amours contrariées de la pop et du punk, doublé d’un fiévreux mélodrame queer.