Cinéma
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Dans ce long métrage, le cinéaste ukrainien Sergei Loznitsa reconstitue le contexte historique de la tragédie du massacre de Babi Yar, qui a conduit à la mort de 33 771 Juif·ves pendant l'Allemagne nazie.
En salle ce mercredi, le cinquième film de la réalisatrice argentique suit les retrouvailles d'une famille à la campagne, entre onirisme et scènes de la vie quotidienne.
Réalisé par Diego Ongaro, réalisateur français expatrié aux États-Unis, “Down With the King” est sorti ce 12 septembre en VOD. L'occasion de (re)découvrir ce très beau film, qui nous plonge au cœur de la Nouvelle-Angleterre.
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Découvrez sans plus attendre nos critiques des films de la semaine.
D'“Une femme est une femme” à “La Chinoise” en passant par “Made in U.S.A.”, la musique a traversé l’œuvre cinématographique de Godard. Retour sur quelques uns de ses moments musicaux les plus mémorables.
Le premier long métrage de Lola Quivoron est sorti sous les foudres d’une campagne de haine absurde, car totalement décorrélée du sujet du film, qu’aucun de ses principaux détracteurs n’atteste d'ailleurs avoir vu.
Actrice dans “Adieu au langage” (2014), duquel elle a tiré le livre “En attendant Godard”, Zoé Bruneau évoque ses souvenirs de tournage avec celui qui lui a offert son premier rôle au cinéma.
Quelques heures après l'annonce du décès du réalisateur franco-suisse à 91 ans, le journal “Libération” a dévoilé que ce dernier a eu recours au suicide assisté en Suisse.
Fabriqué à partir d'images spectaculaires tirées de leurs expéditions , “Fire of Love” retrace la vie de Katia et Maurice Krafft, couple de volcanologues spécialisé dans la traque d'éruptions, pionnier·ères de leur discipline et amoureux·euses inconditionnel·les (et irrationnel·les) des profondeurs agitées de la Terre.
[Jean-Luc Godard est décédé ce mardi 13 septembre. À cette occasion, nous vous proposons de redécouvrir cet article] C’est la fin de l’été 1993, nous entrons pour la première fois dans les bureaux parisiens du génie helvète. Le cinéaste nous parle de travail et de tennis, de Dieu et du totalitarisme, de l’envie d’une maison. Un art de la digression – drôle, mélancolique, spirituelle – qui laisse apparaître, en filigrane, les contours de son film du moment, “Hélas pour moi”.