Cinéma
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Une comédie de braquage signé Louis Garrel, un film sur les harkis de la guerre d’Algérie et un biopic douteux sur Simone Veil, découvrez sans attendre les films de la semaine.
Andreas Fontana, dans son premier film (présenté à la Berlinale 2021), parvient à décrire une dictature sans jamais la montrer directement.
Entre journal intime et photos souvenirs, Claire Doyon signe un documentaire à l'écriture cristalline qui raconte l'expérience de vie de sa fille atteinte d'autisme.
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Le dernier volet de la trilogie de David Gordon Green a l’arrogance de vouloir clore définitivement la saga et y ajoute l’impolitesse de bâcler sa copie.
Condamné à six ans de prison par le gouvernement iranien, Jafar Panahi a tout de même réussi à s’exprimer à distance lors de la présentation de son nouveau film, “No Bears”, au NYFF.
Alourdi par une logique parfois trop punitive envers son personnage principal, un récit de reconstruction qui trouve sa lumière grâce au visage insubmersible de l'actrice Rita Burkovska.
Entre “Indiana Jones” et “Uncharted”, la première réalisation de Malik Bentalha est un pastiche de film d'aventure plutôt réussi assorti d’un inattendu sous-texte personnel.
Henry Selick présente son nouveau long-métrage d’animation en stop-motion co-écrit avec Jordan Peele.
C’est une première dans l’histoire du cinéma d’épouvante : “Smile” de Parker Finn, réalise plus d’entrées en deuxième semaine qu’en première.
Olivier Dahan commet un nouveau film sentencieux et pompier qui ressemble davantage à un clip qu'à du cinéma.
