Hitchcock encore, pour l’un de ses films anglais les plus fascinants et les plus inventifs : ayant dompté la parole pour son troisième film parlant, le maestro mêle théâtre, cirque et rhétorique de procès, prêt à toutes les audaces, formelles (un monologue intérieur en voix off) et thématiques (métissage, transformisme). Ses obsessions et ses fantasmes […]
Hitchcock encore, pour l’un de ses films anglais les plus fascinants et les plus inventifs : ayant dompté la parole pour son troisième film parlant, le maestro mêle théâtre, cirque et rhétorique de procès, prêt à toutes les audaces, formelles (un monologue intérieur en voix off) et thématiques (métissage, transformisme). Ses obsessions et ses fantasmes d’altérité y sont à nu comme rarement à l’époque, et l’héroïne vient grossir les rangs des victimes hitchcockiennes, fausses coupables vraiment à la question.
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