Les vacances approchent et apparaissent sur les écrans des “slashers” américains qui se ressemblent tous : vengeance, jeunesse dorée, campus, tueur masqué. Mélangez ces subtils ingrédients, saupoudrez de références à John Carpenter, Dario Argento et Brian De Palma et vous obtiendrez une vilaine bouillie avec quelques grumeaux sanglants et une bonne dose d’ennui. L’auteur, Jamie […]
Les vacances approchent et apparaissent sur les écrans des « slashers » américains qui se ressemblent tous : vengeance, jeunesse dorée, campus, tueur masqué. Mélangez ces subtils ingrédients, saupoudrez de références à John Carpenter, Dario Argento et Brian De Palma et vous obtiendrez une vilaine bouillie avec quelques grumeaux sanglants et une bonne dose d’ennui. L’auteur, Jamie Blanks est un récidiviste (on lui doit déjà Urban Legend), et l’actrice Denise Richards (Sex Crimes, Starship Troopers) devrait s’appeler Roberts à la place de Julia (question poumons, pour ceux qui n’ont pas compris l’astuce). Cette fois-ci, quatre pimbêches blondes, riches et odieuses sont massacrées par un tueur au masque de cupidon. L’absence totale de qualités morales des donzelles californiennes donne au travail du serial killer une valeur d’intérêt public. Au fait, ce sont l’ex-obèse et l’ex-alcoolique les coupables, ce qui achève de rendre le film encore plus antipathique que ses personnages. Mais souviens-toi, l’été prochain tu iras voir « Mortelle Saint-Valentin numéro 2 » et ce sera encore plus nul que le premier.
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