Après le formidable Un Jour sans fin, film hollywoodien très expérimental, Harold Ramis remet le couvert en ne jouant plus sur la répétition mais sur la multiplication. D’où le titre américain : Multiplicity. L’histoire d’un chef de chantier débordé par son travail qui, n’arrivant plus à satisfaire sa femme, se met littéralement en quatre. C’est-à-dire […]
Après le formidable Un Jour sans fin, film hollywoodien très expérimental, Harold Ramis remet le couvert en ne jouant plus sur la répétition mais sur la multiplication. D’où le titre américain : Multiplicity. L’histoire d’un chef de chantier débordé par son travail qui, n’arrivant plus à satisfaire sa femme, se met littéralement en quatre. C’est-à-dire qu’il se fait assister dans ses tâches conjugales et familiales par trois clones. Reposant sur des effets spéciaux sophistiqués, ce film ne manque pas de sel, mais il est moins novateur que le précédent. Et puis, Michael Keaton n’a pas la classe de Bill Murray.
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