La version grand public d’Un Homme qui dort, film très singulier de Bernard Queysanne et Georges Perec. Ici Raoul, jeune étudiant passif et effacé, passe son temps à pas grand-chose et accessoirement à fantasmer sur les filles. Le film séduit par sa manière de flirter avec la fadeur, l’évanescence, mais on aurait aimé plus de […]
La version grand public d’Un Homme qui dort, film très singulier de Bernard Queysanne et Georges Perec. Ici Raoul, jeune étudiant passif et effacé, passe son temps à pas grand-chose et accessoirement à fantasmer sur les filles. Le film séduit par sa manière de flirter avec la fadeur, l’évanescence, mais on aurait aimé plus de radicalité dans ce domaine. Que ça débouche sur la schizophrénie ou sur une intensification du réel. Hélas, Harel préfère l’homéopathie. Remarquez que c’est pire quand il soumet ses scénars au régime body-building.
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