On ne présente plus la série des Honest Trailers, réservoirs à private jokes très nerdy transfigurant n’importe quel blockbuster en comédie involontaire. Alors que Jason Bourne débarque dans nos salles hexagonales le 10 août prochain, ces retrouvailles entre Matt Damon et le cinéaste Paul Greengrass incitent la voix-off caverneuse à se payer la trilogie Bourne […]
On ne présente plus la série des Honest Trailers, réservoirs à private jokes très nerdy transfigurant n’importe quel blockbuster en comédie involontaire. Alors que Jason Bourne débarque dans nos salles hexagonales le 10 août prochain, ces retrouvailles entre Matt Damon et le cinéaste Paul Greengrass incitent la voix-off caverneuse à se payer la trilogie Bourne Ultinatum. Si le choix de Matt Damon prête déjà à la drôlerie (« on aurait pas imaginé que Will Hunting puisse à ce point botter des culs« ), l’amnésique furibard qu’il incarne est pertinemment défini comme « un croisement entre le badass Liam Neeson de Taken et Dory du Monde de Nemo« . Quant à la réalisation virevoltante de Greengrass (ex-documentariste), pensée en zooms/dézooms successifs (via la « shaky-cam », ou caméra tremblotante), elle se résume à « ce que filmerait un accro à la meth si on lui filait une GoPro« . Rien n’est épargné en ce jeu de massacre humoristique qui n’en rend que plus attachante cette pyramide du cinéma d’action moderne.
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