Mélo constipé sur fond de traumas de guerre.
Conçu comme un hommage à David Lean, dont il cite Brève rencontre et Le Pont de la rivière Kwaï, ce film a tout du pudding lénifiant.
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Soit les amours constipées entre Colin Firth, quadra ferrovipathe (fan de trains), traumatisé par les tortures qu’il a subies dans un camp japonais durant la Seconde Guerre mondiale, et Nicole Kidman, quadra cosmétipathe (fan de crème de jour), soucieuse d’aider son homme à surmonter ses peurs.
D’un académisme de chaque instant, Les Voies du destin est un produit aussi générique que son titre français : un mauvais roman de gare en somme.
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