Cinq révélations qui ont crevé l’écran en 2010, et on ne pense pas qu’ils s’arrêteront là.
Edgar Ramirez
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On connaissait cet acteur vénézuelien pour l’avoir découvert dans Domino de Tony Scott et La Vengeance dans la peau de Paul Greengrass. Mais dans Carlos d’Olivier Assayas, il tient l’écran près de cinq heures durant avec une présence et un investissement physique proprement hallucinants. Destiné à devenir une star.
Sophie Letourneur
Dans son premier long, La Vie au ranch, elle livre le portrait de groupe rock’n’roll d’une bande d’adolescentes. Sophie Letourneur est une des emballantes découvertes de cette année riche en premiers films. A ses côtés ont aussi brillé Patric Chiha, Mikhaël Hers, Rebecca Zlotowski, Valérie Donzelli, Fabrice Gobert ou Katell Quillévéré.
Jesse Eisenberg
Mark Zuckerberg dans The Social Network de David Fincher, c’est lui. Mais cet enfant de la balle (sa mère est clown) avait déjà été vu dans Adventureland et Bienvenue à Zombieland en 2009. Fermé comme une huître, il incarne avec une belle opacité ce curieux animal à sang froid qui a révolutionné toutes les modalités des échanges humains.
Tizza Covi et Rainer Frimmel
Avec La Pivellina, ce couple de documentaristes germano-italien réalise sa première “fiction”, tournée dans les faubourgs de Rome : un mélodrame émouvant mais sans mièvrerie qui semble faire renaître le néoréalisme d’après-guerre.
Anaïs Demoustier
Nommée aux César 2009 pour le Meilleur espoir féminin dans Les Grandes Personnes, on la voit dans trois films de 2010 : L’Enfance du mal d’Olivier Coussemacq, D’amour et d’eau fraîche d’Isabelle Czajka et Belle épine de Rebecca Zlotowski, aux côtés de Léa Seydoux. A chaque fois, sa fraîcheur, son naturel, sa grâce nous ravissent.
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