Depuis l’été dernier, Leonardo DiCaprio est impliqué dans un scandale international politico-financier. Plusieurs biens, visant à blanchir des milliards de dollars détournés de Malaisie, offerts à Léonardo DiCaprio, dont un Picasso et un Oscar, ont été remis à la justice.
Impliqué dans le scandale international politico-financier sur le financement frauduleux du Loup de Wall Street, Leonardo DiCaprio a du rendre un bon lot de cadeaux onéreux. Ils avait été offerts par un homme d’affaire malaisien et visaient à blanchir des milliards de dollars détournés. Parmi eux : des tableaux (un Picasso, un Jean-Michel Basquiat), une photographie de Diane Arbus et … Un oscar.
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L’oscar de Brando
Fan inconditionnel, soyez rassurés. Il ne s’agit pas là de son précieux Oscar (enfin) décroché l’an passé pour son rôle de performeur dans The Revenant d’Alejandro González Iñárritu mais de celui de Marlon Brando pour son rôle dans Sur les quais. Une belle récompense donnée « à Leonardo DiCaprio comme cadeau de tournage par Red Granite« , la société de production du Loup de Wall Street impliquée dans le scandale, comme indiqué dans un communiqué du 16 juin.
Des donations plutôt généreuses utilisées pour blanchir plusieurs milliards de dollars détournés d’un fond public malaisien crée en 2009, 1Malaysia Development Berhad (1MDB), et dont le Premier ministre malaisien Najib Razak est le président consultatif, selon le département de la justice des États-Unis.
Dans ce même communiqué reçu par l’AFP, le porte parole de la star américaine a notamment déclaré que dès juillet dernier, l’acteur mis en cause dans cette histoire s’était empressé de contacter le ministère américain de la justice afin de « savoir si certains cadeaux ou donations venaient des parties citées dans la plainte et pour offrir de les rendre« . Avant même que la plainte ne soit déposée il avait « initié la restitution de ces biens, acceptés pour être vendus lors d’enchères de levée de fonds pour sa fondation« .
Pour rappel, Leonardo DiCaprio avait été mise en cause l’été dernier pour sa participation au montage financier très douteux du Loup de Wall Street de Martin Scorsese produit par la société Red Granite, de Riza Aziz, qui n’est autre que le beau-fils du Premier ministre malaisien.
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