Trop intello pour moi. J’entrave que dalle à ce conte philosophique et aux propos du cinéaste : “Le Prof exalte une idée de soi en perpétuelle création. Devenir plutôt qu’être.” Moi qui en étais resté à “Je pense, donc j’essuie (les carreaux)”, ça m’en bouche un coin… Concrètement, ces fins apophtegmes ne m’aident pas. On […]
Trop intello pour moi. J’entrave que dalle à ce conte philosophique et aux propos du cinéaste : « Le Prof exalte une idée de soi en perpétuelle création. Devenir plutôt qu’être. » Moi qui en étais resté à « Je pense, donc j’essuie (les carreaux) », ça m’en bouche un coin… Concrètement, ces fins apophtegmes ne m’aident pas. On me dit « Il (Anglade, prof d’éco) veut les aider (ses élèves) à faire de leur vie une œuvre d’art et apprendre à devenir sans cesse. » Je sens qu’il y a du zen là-dessous, mais ça reste très diffus. Reste d’autres questions insondables : comment Jean-Hugues, prof fauché, fait-il pour offrir à sa mamie un manoir et pourquoi colle-t-il soudain sur le portail de la demeure une pancarte d’hôtel trois étoiles ? Licence poétique ? Et pourquoi Hélène de Fougerolles, prof de psycho, montre-t-elle à ses étudiants un travelo dans une cage de verre ? Le Prof est un abîme pascalien.
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