L’internaute Jacob T. Swinney – à qui l’on doit de nombreux supercuts, revient cette fois-ci avec une analyse chromatique des films de David Fincher, pour Slate. On constate ainsi que le réalisateur américain fait baigner tous ses films dans deux teintes uniquement : le bleu et le jaune. Que les personnages se battent (Fight Club), s’enlacent […]
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L'internaute Jacob T. Swinney – à qui l'on doit de nombreux supercuts, revient cette fois-ci avec une analyse chromatique des films de David Fincher, pour Slate. On constate ainsi que le réalisateur américain fait baigner tous ses films dans deux teintes uniquement : le bleu et le jaune. Que les personnages se battent (Fight Club), s’enlacent (Benjamin Button) dînent (The Social Network) ou planifient de se liquider l’un l’autre (Gone Girl), ils passent tous par le prisme de ces deux filtres chromatiques.
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