Maladroite mais attachante chronique du lien entre deux jeunes frères.
Le Diable dans la peau a toute la fragilité d’un premier film.
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Cette histoire de frères qui ne veulent pas être séparés dans une campagne hors du temps a un peu de mal à prendre corps.
On sent parfois l’influence de Pialat, dans les rapports familiaux et l’attention au monde de l’enfance, mais la beauté des paysages et la maîtrise époustouflante de la photographie mettent un peu trop en relief les scories du scénario et de la direction d’acteurs.
Avec l’élan propre aux premières fois, Gilles Martinerie arrive à faire sourdre parfois ses émotions, pour nous les donner à fleur de peau.
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