L’Aigle à deux têtesUn drame psychologique poussiéreux et bavard sur les amours d’une reine et d’un jeune et dangereux anarchiste, sosie du roi défunt. On ne trouve dans cette œuvre théâtrale ni les accents féeriques de La Belle et la Bête ni les paradoxes oniriques d’Orphée. Seuls les inconditionnels de Jean Cocteau et/ou de Jean […]
L’Aigle à deux têtes
Un drame psychologique poussiéreux et bavard sur les amours d’une reine et d’un jeune et dangereux anarchiste, sosie du roi défunt. On ne trouve dans cette œuvre théâtrale ni les accents féeriques de La Belle et la Bête ni les paradoxes oniriques d’Orphée. Seuls les inconditionnels de Jean Cocteau et/ou de Jean Marais (et d’Edwige Feuillère, si ça existe) y trouveront leur compte. Le Mystère d’Oberwald, remake du film par Antonioni, est plus original.
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