Une fable manquée sur le destin d’un camarade de lycée du chanteur de U2.
Deux groupes sur la même ligne de départ. L’un décolle, l’autre pas. Sur le sujet, Killing Bono souffre de venir après le formidable documentaire Dig!, enregistrant sur sept ans le délitement du Brian Jonestown Massacre, tandis que leurs acolytes des Dandy Warhols se hissent vers la gloire.
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Inspiré d’un récit autobiographique, ce récit des successifs ratages, par peché d’orgueil, d’un ancien camarade de lycée du leader de U2 ne manque pas de piquant et bénéficie d’une empathie un peu automatique – qui, un jour, n’a pas eu envie de tuer Bono ? Mais une direction artistique ringarde, un style visuel et un humour proche de Danny Boyle quinze ans après réduisent à pas grand-chose cette fable du destin manqué
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