Une œuvre émouvante et courageuse, un violent réquisitoire antimilitariste.Le dernier jour de la Première Guerre mondiale, Joe, un jeune soldat américain, est atrocement blessé. Amputé de trois membres, aveugle, sourd et muet, il est maintenu en vie comme un objet de curiosité scientifique par les médecins. Mais Joe n’a pas perdu l’usage de son cerveau. […]
Une œuvre émouvante et courageuse, un violent réquisitoire antimilitariste.
Le dernier jour de la Première Guerre mondiale, Joe, un jeune soldat américain, est atrocement blessé. Amputé de trois membres, aveugle, sourd et muet, il est maintenu en vie comme un objet de curiosité scientifique par les médecins.
Mais Joe n’a pas perdu l’usage de son cerveau. Il parvient, grâce au langage morse, à entrer en contact avec une infirmière et la supplie de mettre fin à ses souffrances. Cette œuvre courageuse et émouvante (à défaut d’être géniale), produite en totale indépendance, est le seul long métrage de Dalton Trumbo, grand scénariste hollywoodien victime de la liste noire.
Ce violent réquisitoire antimilitariste fut d’abord un roman écrit par Trumbo à la veille de la Seconde Guerre mondiale, puis une pièce radiophonique interprétée par James Cagney.
Ce n’est qu’en 1971 que Donald Trumbo décide de porter lui-même à l’écran Johnny Got his Gun en réaction à l’intervention américaine au Vietnam.
Un livret de 32 pages accompagne ce DVD, qui propose en bonus un entretien très cinéphilique avec Pierre Rissient, l’attaché de presse du film au moment de sa sortie.
{"type":"Pave-Haut2-Desktop"}
{"type":"Banniere-Basse"}