In The Valley of Violence entremêle en une sableuse macédoine tous les ingrédients du western post-Sergio Leone : vengeance, misfits, homme sans nom, gueules burinées, sans omettre la présence d’un chien qui nous renvoie plus volontiers aux westerns modernes tendance Apocalypse 2024 / Mad Max. Mais la grande particularité de ce film de cowboys, hormis […]
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In The Valley of Violence entremêle en une sableuse macédoine tous les ingrédients du western post-Sergio Leone : vengeance, misfits, homme sans nom, gueules burinées, sans omettre la présence d’un chien qui nous renvoie plus volontiers aux westerns modernes tendance Apocalypse 2024 / Mad Max. Mais la grande particularité de ce film de cowboys, hormis la présence incongrue du has been Travolta, est le nom de son metteur en scène : Ti West. West est le réalisateur/scénariste de plusieurs oeuvres horrifiques (Cabin Fever II, The House of The Devil, The Innkeepers, The Sacrament) et son passage au western n’est pas sans évoquer le cas identique de Sam Raimi, grand nom du cinéma à frissons (la trilogie Evil Dead) et auteur d’un superbe hommage à l’imaginaire de l’ouest américain avec son trop méconnu Mort ou Vif…
Le producteur Jason Blum, à la tête des franchises The Purge, Sinister et Paranomal Activity, n’a certainement pas été insensible au goût prononcé de West pour tout ce qui se rapproche le western du slasher : un juste dosage du suspens, des personnages seuls contre tous, une menace ambiante, un jeu constant entre excès de violence et silence. Reste à savoir si, en tête d’affiche, Ethan Hawke, qui a également intégré le casting du remake à venir des Sept Mercenaires par Antoine Fuqua, saura nous convaincre.
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