On nous a bassiné avec les romans qui, comme tous les best-sellers “donnent le goût de la lecture à ceux qui n’ouvrent jamais un livre”. Blablabla, connaît pas les bouquins. Maintenant on va nous soûler avec le film, qui rétame le box-office anglo-saxon. On s’en fout, on juge sur pièces. Eh bien, ce Harry Potter, […]
On nous a bassiné avec les romans qui, comme tous les best-sellers « donnent le goût de la lecture à ceux qui n’ouvrent jamais un livre ». Blablabla, connaît pas les bouquins. Maintenant on va nous soûler avec le film, qui rétame le box-office anglo-saxon. On s’en fout, on juge sur pièces. Eh bien, ce Harry Potter, c’est RIEN. A ma gauche, un salmigondis néo-obscurantiste, un produit Halloween Inc. ?. Sorcellerie ultra-light. Adaptez Lovecraft ou Castaneda, au moins c’est dingue !
A ma droite, une mixture cucul de Buffy, Charmed, le gothique au lycée, et de Donjons et Dragons à la papa, touillé avec un zeste de Merlin l’enchanteur et de Père Fouras, le film. Triomphe des effets spéciaux numériques et de la nintendomania, pour le reste, encéphalogramme plat. A côté de ce Christophe Colombus qui n’a ni découvert l’Amérique ni inventé l’eau tiède, Spielberg et Lucas sont des génies.
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